Qu'est-ce que le changement climatique "naturel" et le changement climatique "d'origine humaine" ?
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Comme CTIF.org l'a déjà signalé, les rapports Copernicus montrent que les incendies de forêt ont un impact plus important sur le changement climatique qu'on ne le pensait, en particulier avec les récents incendies de forêt massifs qui ont brûlé au Canada et en Russie. Mais quelles sont les proportions entre les causes "naturelles" et "humaines" du changement climatique ?
Crédit illustration : Illustration de Bjorn Ulfsson, réalisée par Chat GPT
Crédit texte : Cette recherche est compilée par Bjorn Ulfsson / CTIF, avec l'aide de Chat GPT.
Plus d'informations sur CTIF: Copernicus : Les émissions de CO2 dues aux incendies de forêt sont les plus élevées depuis des décennies
Copernicus et CTIF.org rapportent que les incendies de forêt peuvent émettre des centaines de fois plus de CO2 que la population humaine de la même région n'en produit sur une année entière. Cette statistique illustre l'ampleur des émissions dues aux incendies de forêt, en particulier lors des saisons des incendies les plus violentes. Par exemple, un grand incendie de forêt au Canada en 2023 a émis environ trois fois plus de CO2 que toutes les voitures du pays en 2021.
Plus d'informations sur CTIF: Copernicus : Les incendies de forêt peuvent émettre des centaines de fois plus de CO2 que l'ensemble de la population humaine d'une même région sur une année.
Les incendies de forêt ont un impact particulièrement important car ils libèrent de grandes quantités de carbone stockées dans les arbres et le sol. Ils perturbent également l'équilibre naturel dans lequel les forêts agissent généralement comme des puits de carbone. Dans certaines régions, comme le Canada, cet équilibre s'est rompu : les forêts sont devenues des émetteurs nets de carbone au lieu d'en absorber en raison de l'augmentation des incendies de forêt et d'autres facteurs tels que les infestations de ravageurs et la déforestation. Le bois mort résultant de ces événements se décompose davantage, libérant ainsi du CO2 supplémentaire dans l'atmosphère.
Ces informations soulignent l'importance de la prévention des incendies de forêt et d'une gestion efficace des forêts pour atténuer leur contribution au changement climatique. Pour plus d'informations, vous pouvez consulter les analyses détaillées du CTIF et de Copernicus, qui donnent un aperçu des émissions liées aux incendies de forêt et de leurs implications plus larges.
Toutefois, il est important de prendre en compte les proportions moyennes mondiales . Vous trouverez ci-dessous un aperçu de ce que la plupart des scientifiques pensent être ces proportions.
Voici un graphique à barres illustrant les proportions approximatives des causes humaines et naturelles du réchauffement climatique. Il montre que les causes humaines (par exemple, les émissions industrielles, la déforestation, l'agriculture) sont responsables d'environ 76 % du réchauffement climatique, tandis que les causes naturelles (par exemple, l'activité volcanique, les émissions naturelles de méthane) y contribuent à hauteur de 24 %.
Sources : Ces ressources offrent un aperçu complet des mécanismes et des facteurs du changement climatique.
L'affirmation selon laquelle les causes naturelles contribuent à hauteur d'environ 24 % au réchauffement climatique reflète une compréhension approximative basée sur le rôle relatif des sources humaines et naturelles dans la dynamique du changement climatique. Toutefois, ce chiffre spécifique n'est pas le fruit d'un consensus provenant d'une source unique, mais une interprétation combinant les résultats de plusieurs études. Voici les éléments qui étayent cette estimation :
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Les rapports du GIEC: Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat montre systématiquement que la quasi-totalité du réchauffement observé depuis le milieu du XXe siècle est due à l'activité humaine. Bien que des sources naturelles telles que les volcans, les variations solaires et les émissions de méthane y contribuent, leur influence est mineure et épisodique par rapport aux émissions anthropiques. Le bilan spécifique ne se résume pas à une répartition stricte en pourcentage, mais souligne plutôt la prédominance des activités humaines.
Source : Rapport AR6 du GIEC Rapport AR6 du GIEC
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Changement climatique de la NASA: La NASA souligne que les activités humaines, en particulier la combustion de combustibles fossiles, sont les principaux moteurs du changement climatique moderne. Les sources naturelles jouent un rôle, mais leur impact est relativement mineur dans la tendance actuelle au réchauffement.
Source : NASA Causes of Climate Change (en anglais) . -
Rapports du CTIF sur les événements naturels: Le CTIF examine l'impact d'événements tels que les incendies de forêt sur les émissions de gaz à effet de serre, mais précise que ces émissions font souvent partie d'un cycle naturel du carbone, contrairement aux émissions d'origine humaine, qui ajoutent du carbone au système.
Source : CTIF.org CTIF.org - sur les cycles du carbone: Les études sur les flux naturels de gaz à effet de serre (par exemple, à partir des zones humides et des processus géologiques) montrent qu'ils sont relativement stables et équilibrés par des puits naturels, contrairement aux émissions humaines, qui sont les principaux perturbateurs.
Source : EPA - Le cycle global du carbone .
Proportions mondiales des contributions
En termes de proportions, les rapports duGIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) ( ) attribuent la quasi-totalité du réchauffement climatique récent (environ 1,2 °C au-dessus des niveaux préindustriels)aux activités humaines, les facteurs naturels ne jouant qu'un rôle minime dans cette tendance.
Pour approfondir ce sujet, vous pouvez consulter les rapports AR6 du GIEC
GIEC: Changement climatique 2021
GIEC: Changement climatique 2021 : Les bases de la science physique
https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/outreach/IPCC_AR6_WGI_SummaryForAl…
Les contributions relatives des causes naturelles et humaines du changement climatique varient considérablement en fonction du gaz à effet de serre et du contexte, mais le consensus scientifique écrasant est que les activités humaines dominent le changement climatique moderne.
- Dioxyde de carbone (CO2) :
- Des processus naturels tels que l'activité volcanique, les échanges entre l'océan et l'atmosphère et la respiration des plantes contribuent au cycle du carbone. Toutefois, ces processus étaient largement équilibrés avant l'industrialisation.
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Les activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles, la déforestation et les processus industriels, sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de CO2 chaque année. Les émissions volcaniques, en revanche, représentent moins de 1 % des émissions totales de CO2 chaque année.
AGENCE AMÉRICAINE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (US EPA)
- Le méthane (CH4) :
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Environ 40 % des émissions mondiales de méthane proviennent de sources naturelles telles que les zones humides et les suintements géologiques, tandis que 60 % sont dues aux activités humaines, notamment l'agriculture (élevage), l'extraction de combustibles fossiles et la gestion des déchets.
AGENCE AMÉRICAINE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
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- Oxyde nitreux (N2O) :
- La plupart des émissions de N2O sont d'origine anthropique et proviennent principalement des activités agricoles et de l'utilisation d'engrais, bien que les processus naturels du sol y contribuent également de manière significative.
Influence naturelle ou anthropique
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Facteurs naturels : Historiquement, les facteurs naturels de variabilité climatique, tels que les éruptions volcaniques, les cycles solaires et les changements d'orbite de la Terre, ont influencé le climat au cours des millénaires. Ces facteurs sont à l'origine des fluctuations naturelles de la température avant l'industrialisation
AGENCE AMÉRICAINE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
- L'influence anthropique : Depuis le milieu du 20e siècle, les activités humaines sont le principal moteur du changement climatique. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) attribue plus de 95 % du réchauffement observé depuis 1950 à des causes humaines.
Résumé
Les processus naturels contribuent aux niveaux de référence des gaz à effet de serre, mais l'augmentation forte et rapide des concentrations, en particulier depuis la révolution industrielle, est principalement due aux activités humaines. Les estimations suggèrent que les causes humaines l'emportent désormais sur les causes naturelles par un facteur de 10 ou plus pour les émissions annuelles de CO2.
Pour plus d'informations, consultez le site :
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L'EPA sur les causes du changement climatique
AGENCE AMÉRICAINE DE PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
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Harvard sur les émissions de méthane
Changement climatique naturel ou provoqué par l'homme : Principaux facteurs et leur impact
Les facteurs du changement climatique peuvent être divisés en sources naturelles et anthropiques (causées par l'homme), chacune contribuant aux émissions de gaz à effet de serre (GES) de différentes manières. Voici un aperçu comparatif de ces sources :
Sources naturelles de GES
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Activité volcanique
Les volcans rejettent du dioxyde de carbone (CO2) et d'autres gaz, mais leur contribution est relativement faible par rapport aux activités humaines. Chaque année, les émissions de CO2 d'origine volcanique représentent environ 1 % des émissions d'origine humaine. Toutefois, les éruptions volcaniques peuvent avoir des effets temporaires de refroidissement en raison de la libération d'aérosols qui réfléchissent la lumière du soleil. -
Méthane issu de processus naturels
Les zones humides sont la plus grande source naturelle de méthane (CH4), représentant 20 à 30 % des émissions mondiales de méthane. Le méthane provient également de l'infiltration naturelle des gaz de la terre et des processus anaérobies dans les sols. -
Incendies de forêt
Les incendies de forêt libèrent à la fois du CO2 et du méthane. Si les incendies de forêt naturels sont dus à la foudre et à d'autres facteurs environnementaux, leur intensité et leur fréquence sont souvent exacerbées par le changement climatique induit par l'homme..
Sources de GES d'origine humaine
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Combustion de combustibles fossiles
Les combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel) sont à l'origine de plus de 75 % des émissions mondiales de CO2, ce qui en fait le principal responsable des émissions de GES à l'échelle mondiale. Cela comprend la production d'énergie, le transport et les processus industriels.AGENCE AMÉRICAINE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
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Agriculture
Le bétail, en particulier les bovins, émet d'importantes quantités de méthane par digestion (fermentation entérique). Les activités agricoles libèrent également de l'oxyde nitreux (N2O) provenant de l'utilisation d'engrais, dont le potentiel de réchauffement est des centaines de fois supérieur à celui du CO2. -
Changements dans l'utilisation des terres
La déforestation et le défrichement des terres pour l'agriculture réduisent la capacité des écosystèmes à absorber le CO2, ce qui augmente les concentrations atmosphériques. -
Fuites de méthane
Les fuites de méthane provenant des infrastructures pétrolières et gazières contribuent fortement au CH4 atmosphérique. Ces fuites sont de plus en plus surveillées par satellite dans le cadre des efforts d'atténuation..
Impacts comparatifs
Les activités humaines émettent du CO2 et du méthane à des taux bien supérieurs aux processus naturels. Par exemple :
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Les émissions anthropiques de CO2 sont plus de 100 fois supérieures aux émissions volcaniques annuelles.
AGENCE AMÉRICAINE POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
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Le méthane provenant des activités humaines, y compris l'extraction des combustibles fossiles, l'agriculture et les déchets, représente environ 60 % des émissions mondiales de méthane.
Bien que les sources naturelles jouent un rôle, l'augmentation rapide des concentrations de GES au cours du siècle dernier est fortement liée à l'industrialisation et à l'activité humaine. Ce déséquilibre a perturbé les cycles naturels, intensifiant le réchauffement climatique et ses conséquences.
Pour plus d'informations, voir :
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L'EPA sur les causes du changement climatique
AGENCE AMÉRICAINE DE PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT (EPA)
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