
Le Québec reconnaît davantage de cancers professionnels chez les pompiers
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Après des années de négociations, le Québec a considérablement élargi la liste des cancers reconnus comme maladies professionnelles pour les pompiers, rapporte Canadian Firefighter.
Le Canada est un pays leader dans le monde lorsqu'il s'agit de reconnaître le cancer chez les pompiers comme une maladie professionnelle, sans demander aux pompiers de prouver comment ils ont contracté le cancer. Cela est dû en grande partie aux travaux de Alex Forest, un sapeur-pompier canadien et chercheur qui a pris la parole lors de plusieurs manifestations du CTIF dans le passé.
Chris Ross, président de l'Association des Pompiers de Montréal, a salué l'engagement du ministre du Travail Jean Boulet à réformer la loi québécoise sur la santé et la sécurité au travail, maintenant officiellement approuvée par le gouvernement Legault.
Les cancers reconnus sont passés de zéro à 15, dont le cancer du cerveau, le cancer colorectal, la leucémie, le cancer de l'œsophage, le cancer du sein et le cancer des testicules. M. Ross a souligné les dangers silencieux auxquels sont confrontés les pompiers, citant les fumées provenant des matériaux synthétiques et des nouvelles constructions comme un risque majeur pour la santé.
Tout en reconnaissant que le Québec est encore en retard par rapport à certaines provinces canadiennes, M. Ross a souligné que ces progrès constituaient une étape essentielle vers la justice pour les pompiers.
Les pompiers de Montréal seraient à l'origine de 90 % des décès liés aux maladies professionnelles au Québec. Les efforts déployés pour garantir un engagement commun des parties prenantes ont conduit à ces réformes, qui répondent aux risques croissants pour la santé liés à la profession.
Crédit photo : Wikipedia Creative Commons License.
Pompiers en action à Château-Richer, Canada.
Date : 18 juin 2012, 11:59:43
Source de la photo : Travail personnel
Auteur : Letartean